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Prendre sa tension allongé ou assis à domicile

Chaque personne doit être soucieuse de sa tension artérielle. A savoir qu'une valeur trop élevée ou trop faible peut provoquer des maladies ou des malaises chez un sujet. Outre l'alimentation saine et équilibrée, il convient alors de le surveiller régulièrement. L'hypertension présente un risque majeur pour la santé des patients assujettis et conduit le plus souvent à un pronostic vital. Ainsi, pour surveiller sa pression artérielle au quotidien, il est désormais possible pour les particuliers d'en servir en dehors d'une clinique médicale, soit à domicile. En guise d'un bon suivi et d'un mode d'emploi plus approprié, quelques bases sont cruciales, à savoir.

Mesure de tension, les notions essentielles à savoir

Les artères sont considérées comme la mère nourricière du corps humain assurant l'approvisionnement sanguin vers tous les tissus de l'organisme, notamment le coeur. Elles fournissent à toutes les cellules de l'oxygène indispensable à leurs fonctionnements et à leurs survies. Lors d'une contraction cardiaque, une quantité importante de sang se propulse dans les conduits depuis des cavités. Ce phénomène implique une compression importante sur les parois de l'artère. Une telle pression ou la « systole » indique le chiffre le plus élevé de la mesure, c'est la pression artérielle (PA) systolique.

Après le phénomène de la systole se produit la « diastole », une pression de relâche exercée par les myocardes ou les muscles de la paroi artérielle. À ce moment, le coeur se remplit à nouveau de sang. La compression est en effet plus basse par rapport à celle de la systole et correspond au chiffre le plus bas indiqué par l'instrument de mesure, d'où la PA diastolique.

Ces deux (2) notions sont indispensables à savoir pour bien interpréter les résultats après la mesure.

Auto mesure de la pression artérielle

L'auto mesure correspond au prélèvement de la tension artérielle (TA) par soi-même, sans l'assistance d'un personnel médical. Une telle pratique est en particulier recommandée pour les patients souffrant d'un problème d'instabilité de PA, et aussi, pour le bon suivi d'une cure thérapeutique à partir des médicaments antihypertenseurs.

Savoir servir son tensiomètre

Le tensiomètre est un instrument de consultation de la TA par excellence. Il se décline en plusieurs modèles très pratiques et simples d'utilisation. Pourtant, peu importe la version choisie, une manipulation plus appropriée s'impose pour plus de fiabilité. Après l'acquisition de son outil de diagnostic, il est conseillé de lire et relire la notice fournie par le fabricant. Pour le tout premier usage, les pratiquants peuvent solliciter les instructions de leur infirmier. Ce dernier est le mieux indiqué à donner des consignes pour son bon fonctionnement. Pour se familiariser, n'hésitez pas à faire plusieurs essais, même sans tenir compte des chiffres tensionnels.

À quel moment de la journée ?

Les moments les plus propices pour la prise d'une TA sont le matin, dès le réveil (avant de boire de l'eau et la prise de médicament) et le soir avant de se coucher, plus précisément entre le dîner et le coucher. La manoeuvre de suivi se déroule pendant trois (3) jours successifs. Inutile de prendre les mesures en dehors de ces créneaux. L'instabilité des valeurs obtenues risquerait de compliquer le diagnostic mené par son médecin. Bref, n'en excluez des valeurs supplémentaires !

En position assise ou coucher ?

Le pratiquant doit s'installer en une position où il se sent le plus confortable. Ainsi, il peut prendre sa tension allongé ou assis, en fonction de la posture où il sera plus à l'aise. Pour prendre sa tension allongé ou assis, le mieux serait de rester assis et confortablement allongé après un repos de 10 minutes. En principe, le médecin procède à la prise de PA en posture assise pour déduire l'hypertension orthostatique ou la chute brutale de la TA systolique. Le plus crucial en tout c'est que la consultation se fait au repos. Les valeurs qui font des bons signes s'étalent essentiellement entre 13.5/8.5. Au-delà de ces chiffres, associés à un malaise, il est prudent de se rendre au service d'urgence.

Quels modèles à opter ?

Plusieurs modèles de tensiomètre d'auto mesure s'offrent à tous les patients en nécessité à énumérer :

  • les modèles électroniques de poignet
  • les versions électroniques compactes
  • les variantes pour bras

Il n'y a pas de mauvais appareil, le mieux c'est de choisir celui qui correspond le plus à son budget et à son traitement !

Les privilèges de prendre soi-même sa tension

Procéder soi-même au prélèvement des valeurs tensionnelles est particulièrement favorable à ceux qui ont l' « effet de blouse blanche » ou la peur des médecins. L'anxiété augmente volontairement la compression systolique. En revanche, il y a aussi le phénomène d'hypertension masquée, qui correspond à la baisse de la PA sous l'effet de stress. En évaluant soi-même et évaluer les données en toute autonomie, il serait plus facile pour les patriciens de déduire si un patient et hyper détendu ou non.